Ma "nostalgie" pour l'étranger
Ce midi, je fais la sieste au balcon ensoleillé et bruyant, une brise fraîche me réveille et me signale l'arrivée de l'automne.
Une image de la vie passée/Un souvenir du passé me revient tout à coup dans la tête/en mémoire: c'était un petit matin en hiver, au ville de Québec, je tenais une tasse de café dans l'arrière-cour de ma maison en voyant un camion qui passait dans la rue tranquille.
Je ne sais pas pourquoi que je me rappelle soudainement/tout à coup cette image ordinaire/ce souvenir banal, mais je me mets à penser au Canada, aux flocons de neige qui tombent sans interruption du ciel infiniment du ciel, et à l'odeur hivernale si pure...
En fait, c'étaient des jours extrêmement solitaires, mais quand ils reviennent en mémoire, il n'en reste que de la beauté. Quel dommage que je perçoive peu de poésie quotidienne dans le présent! Mon cœur ne cesse (pas) de me leurrer/tromper/de m'induire en erreur en disant/exprimant la phrase doucereuse: LA VIE EST AILLEURS!
Ma "nostalgie" pour l'étranger
Ce midi, je fais la siéste au balcon ensoleillé et bruyant, une brise fraîche me réveille et me signale l'arrivée de l'automne.
Un image de vie passée me souvient tout à coup dans la tête: c'était un petit matin en hiver, au ville de Québec, je tenais une tasse de café dans l'arrière-coure de ma maison en voyant un camion passait dans la rue tranquille.
Je ne sais pas pourquoi que je me rappelle soudainement cet image ordinaire, mais je me met à penser au Canada, aux flocons de neige qui tombent infiniment du ciel, et à l'odeur hivernale si pure...
En fait, c'étaient des jours extrêmement solitaire, mais quand ils se transforment en mémoire, il n'en reste que de beauté. Quel dommage que je perçoive peu de poétique quotidienne dans le présent! Mon cœur ne cesse pas de me leurrer en disant la phrase doucereuse: LA VIE EST AILLEURS!
