On peut penser que cette phrase, où le verbe manque comme l'a fait remarquer Daniel, est la réponse, orale en effet, à une question un peu brutale, du style : "Et toi, tu fais quoi maintenant ?" ou "toi, il te reste quoi à faire ?", ce qui en français plus correct se dirait : "et toi, que te reste-t-il à faire ?".